La deuxième McDamond débarque, attention ça va faire mal.

~ Etat Civil ~


Nom, Prénom : McDamond Eileen
Âge : 17 ans
Jour et mois de Naissance : 6 Juin
Sexe : Féminin
Orientation Sexuelle : Bisexuelle
Famille dans laquelle vous souhaitez entrer : Sagrada
Personnage Prédéfini ou Inventé ? : Inventé

~ Descriptions ~


Description Physique :

Lorsque l’on vous dit jeune irlandaise de 17 ans, vous pensez à quoi ?
Enlevez tout de suite ce que vous pensez de votre tête car Eileen est la totale opposée de l’archétype même de tous ces adjectifs. Elle n’est ni belle, ni rousse, ni aux yeux vert émeraude.

De taille moyenne à peine quelques 165 cm, Eileen regarde le monde dans la peau d’une petite délinquante totalement excentrique et anticonformiste. Ne portant aucun intérêt à sa taille, pouvant être considéré comme « petite », elle est toutefois très attachée à son poids et sa corpulence. Pas maigre, pas grosse non plus, Eileen est de poids moyens. Elle peut être considérée comme fine, et néanmoins elle garde de jolie forme qu’elle prend soit à mettre en valeur. Sportive et endurante, elle possède une certaine musculature toutefois quasiment dissimulée par des muscles tout en longueur et finesse. Pâle de peau, elle est ce genre de personne qui ne peut pas prendre le soleil et passe du blanc au rouge lorsqu’elle essaye de bronzer. Ceci ne dérange pas vraiment Eileen qui prend un malin plaisir à jouer sur son aspect extérieur.

Pour ce qui est de son visage, là non plus, ne vous fiez pas à vos idées préconçues. Elle porte un visage aux traits fins, en forme de cœur. Pourtant, là s’arrête la beautée-d’adolescente-désirable. Très souvent, son visage est le miroir de sa folie. Froid, parfois même glacial, il est très rarement avenant et joyeux. Ceci vient peut être du fait que la jeune fille ne sait pas sourire « normalement ». Chez elle, le seul sourire qui existe est celui de la provocation ou de la démence. De même, la première chose que l’on remarque chez Eileen c’est ses yeux… ou plutôt son œil. Blessée dans son enfant, elle garde une cicatrice que l’on a gravé dans sa peau et sur sa paupière : une croix-épée comme celle de St Jacques de Compostelle, emblème d’un clan quelle a défiée. Pour dissimulée cette imperfection –et honte- sur sa peau, elle porte toujours un cache-œil noire où sa sœur s’est amusée à placée une tête de lapin. Quoique surprenant, cet élément s’intègre parfaitement à son style. Quant à son autre œil, on ne peut dire de quel couleur il est car Eileen porte tous les jours une lentille de contacte différent, comme pour dissimuler la vraie couleur que porte son iris.

Sa coiffure ? Nous n’en parlerons pas très longtemps. Eileen porte les cheveux courts, pour une question de pratique. Elle n’aime pas être déranger par ses cheveux, et encore moins lorsque le danger guette. Elle a donc choisit de les couper. Leur couleur, par contre, est un choix de gout. N’appréciant pas la couleur cuivrée, prouvant ses origines irlandaise, la jeune fille à choisit de les teindre en noir, couleur qui contraste à merveille avec le teint de sa peau. Ainsi, elle ressemble un peu à un vampire et elle est tire une grande satisfaction.

Enfin, au niveau vestimentaire, le choix est large. Portant un panel de style, Eileen ne s’est jamais identifiée à une mode. Souvent habillée d’un uniforme scolaire –malgré son caractère, elle suit toujours des cours-, elle aime néanmoins personnalisée ses tenues et n’hésite pas à customiser ses habits. Osant tout porter, elle se fait souvent remarquer par ses idées extravagantes, voir flippantes.

De même que vous aviez des préjugés pour le physique d’Eileen, chassez ceux sur son caractère. Autant à 17 ans, les jeunes filles sont douces, parfois curieuses ombrageuses, Eileen, elle, est démente. Là où les autres reculeraient par peur ou intelligence, la jeune fille fonce.

Tout d’abord, on peut dire qu’Eileen adore le danger. Dès qu’une occasion se présente, elle fonce vers le danger. Elle aime jouer avec sa vie et sa santé. Pour Eileen, frôler la mort, c’est se prouver que l’on est véritablement et totalement en vie. Elle trouve ça excitant et jouissif. De plus, à force de jouer avec le danger, elle est devenue une adepte des défis stupides et dangereux. Elle est par la même occasion, devenue très forte à ce genre de jeu et n’hésite pas à entrainer des innocents avec elle. Elle trouve très amusant de voir des idiots se faire blessé au cours d’un défi stupide.

Eileen est aussi une très bonne oratrice. Lorsqu’elle veut quelque chose, elle trouve toujours les mots pour convaincre les gens qui l’entourent. Certains la désigne comme bonne parleuse, pourtant cette capacité va plus loin : elle est manipulatrice. Pourtant, ce trait pourrait s’arrêter là, mais Eileen mélange à cette manipulation un grand gout pour la provocation. Puisqu’elle manie très bien les mots, elle en profite souvent pour blessés les gens avec et les pousser à bout. C’est une manière pour elle de détruire ce qu’ils sont.

Puisqu’elle est adepte de la provocation, Eileen à souvent du faire face à des combats. Comme tout, le talent vient avec l’expérience, lui disait son père. A force de provoquer et subir les vengeances, Eileen est devenue une très bonne combattante. Préférant se battre à mains-nues –elle met alors à profit sa vitesse et sa souplesse- elle n’hésite pourtant pas à utiliser toutes sortes d’armes blanches lorsqu’elle en a sous la main. Au contraire, elle à un dégout pour tout ce qui est arme à feu et méprise ceux qui osent s’en servir.

Lorsqu’elle ne se sert pas des mots pour détruire les gens, Eileen n’hésite pas à user de la violence. Elle n’est pas le genre de fou à torturer quelqu’un par plaisir mais n’a pas peur de blessé gravement quelqu’un de et l’abandonner comme ca. De même, elle-même n’a pas peur de subir la souffrance ou la torture. Elle sait jusqu’où sont ses limites et a déjà subit des douleurs impressionnantes. Néanmoins, elle déteste qu’on réussisse à percer sa carapace et qu’on la détruise par l’intérieur en brisant son esprit.

De même, Eileen n’aime pas la gentillesse et la douceur à son égard. Lorsque quelqu’un à une attention particulière pour elle, elle se sent mal à l’aise voir gênée et ne sait pas comment réagir. Parfois, elle finit par le prendre bien, parfois, elle prend ceci pour une insulte et se défend par la violence. Ceci fait d’elle une personne impulsive et imprévisible.

Pour finir, on peut expliquer la folie d’Eileen de deux manières. D’abord, elle n’a aucune conception de ce qu’est la vie « normale ». Violente, moqueuse, tentatrice, elle aime dessiner le monde tel qu’elle le veut. Pour cela, elle n’hésite ni à jouer sur son apparence, ni à user de la force et de la violence. Elle ne craint pas de tuer quelqu’un, car elle ne le fait que si elle le juge utile. Il en va de même pour la violence. Si elle n’a pas envie d’être violente, elle peut épargner un ennemi, et au contraire, elle peut abattre de sang froid un ami. Ensuite, Eileen connait de graves accès de violence qu’elle n’arrive pas à contrôler. Elle refuse tout traitement médicamenteux pour atténuer ce problème comportemental. Lorsqu’elle entre en crise, Eileen ne reconnait plus personne et devient presque « bestiale ». Elle pourrait alors tuer une personne qu’elle chérit sans que ca ne lui pose un problème. Néanmoins, lorsqu’elle ressort de ces accès incontrôlables, elle est souvent dans un état d’intense fatigue. Faiblarde, fatiguée, parfois même malade, elle devient vulnérable et dans un sens, plus humaine. Ce qui déclenche ces étrange crises sont souvent des actions qui l’énerve ou réveille de vieux souvenirs en elle… parfois ce sont des voix à son oreille qui lui soufflent de le faire. Ces voix, les médecins diraient que ce sont un genre de schizophrénie ; Eileen, elle vous dira que c’est la drogue qui lui fait tourner la tête.

Le « Il était une fois » d’Eileen se place un 6 juin, en Irlande, plus précisément à Shannon sur la côté ouest de l’île. Née de deux parents Irlandais, elle arriva d’une manière plutôt surprenante. Sa mère, Assa, était à la maison, tout ce qu’il y avait de plus normal, à vaquer aux taches ménagères et à s’occuper de sa fille âgée d’un an, Anna. Oui, tout était normal… et voila justement le problème. Personne n’avait prévu la venue d’Eileen. Personne n’avait comprit que la femme était enceinte, pas même son mari… pas même elle. Lorsque les contractions arrivèrent, Assa paniqua. Accompagnée de son mari, Cédric, elle alla à l’hôpital, persuadé qu’elle déclenchait l’appendicite. Une écographie, et on lui révéla qu’elle était sur le point d’accoucher. La jeune femme ne comprenait pas. Elle n’était pas enceinte ! Elle ne voulait pas d’enfant ! Lorsqu’on lui fit comprendre qu’elle était en déni de grossesse, il était trop tard pour avorter. Elle devait accepter l’enfant. C’était un 6 juin, et déjà Eileen était la personne en trop parmi sa famille. Née d’un déni de grossesse, le premier regard qu’elle reçu fut celui de la haine.

Malgré sa naissance refusée, Eileen passa ses premières années auprès de sa famille. Fille non désirée de ses parents, elle ne trouva guère d’amour auprès d’eux. Néanmoins, elle était heureuse et ceci grâce à son ainée. Anna était la seule qui l’avait accueilli dans la famille avait joie. La seule qui la voulait vraiment près d’elle. Ainsi, les deux petites filles grandirent ensemble, toujours liées l’une à l’autre, si complices qu’elles ne pouvaient supporter de voir l’autre loin.

L’enfance d’Eileen aurait pu être agréable. Il le fut, quoique grandement atténué lorsque son père, vendeur d’arme et trafiquant en tout genre, se mit à devenir violent. Il s’en prit d’abord à sa femme. L’humiliant, la frappant, il sembla s’en éloigner à grand pas, la haïssant pour une raison inconnue. Puis, alors qu’Eileen atteignait les 6 ans, sa haine se reporta sur elle. L’enfant ne comprit pas et pourtant elle subit sans un mot. Sa sœur, Anna, était très proche de leur père, et pour elle, elle ne s’en plaignit jamais. Courageuse jusqu’à ce que les coups deviennent plus forts, plus dangereux, la gamine continua à grappiller des années et à chérir sa sœur plus que tout.

L’histoire prit un nouveau tournant, manquant de tuer l’irlandaise en même temps, lorsqu’Eileen eut 11 ans. Elle ne se souvient plus de rien de ce jour. Rien d’autre que sa sœur venant la voir, un sourire aux lèvres. Anna lui avait offert un accessoire pour un déguisement d’un carnaval à venir. Un cache-œil customisée par ses soins. Le soir arrivant, leur père était rentré en furie dans la maison et tout en hurlant, il avait déclaré qu’il partait vivre aux USA. Dans sa fuite incompréhensible, il emporta Anna. Ou bien Anna le suivit… Ce jour, dans l’esprit d’Eileen se brouilla jusqu’à devenir un mélange de bruits et de larmes…

Loin d’Anna, l’enfant changea doucement de vie. D’abord, elle voulut se laisser mourir. Sans sa sœur, elle ne se voyait pas vivre. Pourtant, son besoin de vivre, d’aller plus loin, la poussa à reprendre le dessus. Sa mère, déjà distante avec elle, le fut encore plus après le départ de Cédric. Insultant sa fille, lui faisant ressentir à quel point elle la haïssait d’avoir détruit sa vie, elle lui mit sur le dos la responsabilité de la fuite de son père.

Eileen chercha alors à fuir sa mère. Effrontée et provocante, elle la défia nombre de fois, et malgré toutes les disputes et les coups, sa mère ne la laissa pas partir de la maison. La gamine devint alors peu à peu de plus en plus violente. Se battant à l’école, même dans les rues, elle s’attira les foudres de beaucoup de groupe. Jouant avec la vie et les garçons, elle provoqua plus d’ennuis que quiconque dans la ville. Plus elle grandissait, plus sa violence s’amplifiait.

Alors qu’elle avait atteint ses 14 ans depuis quelques mois, Eileen alla plus loin. Un garçon qui aimait se moquer d’elle souvent, un de ceux avec les tensions étaient si palpables que l’air devenait électrique, un môme d’un des clans qu’elle aimait provoquer, la passa à tabac avec trois de ses amis. Lorsqu’elle fut bien calmée, à moitié assommée sur le sol, il voulu l’humilier un peu plus et tenta de la violer. C’en fut trop pour la jeune fille. Déjà incontrôlable, elle péta littéralement un câble. Malgré sa confusion et ses blessures, elle réussit à se remettre sur pied et défia l’homme qui voulait, l’abaisser au rang de prostitué. Ne supportant ni les moqueries ni l’insolence du jeune homme, elle se jeta sur lui. Ensuite, comme prise de frénésie, elle le frappa. Lorsqu’elle sortit de sa « transe », il était mort et dans un état ahurissant. Défiguré à jamais, il avait plusieurs fractures, et était couvert d’hématome. Se rendant compte de sa force, la jeune fille prit peur. Elle alla se terrer chez elle.

Puis le temps fit son effet. Reprenant doucement ses habitudes, Eileen devint alors comme apathique. Toujours aussi violente, elle ne réagissait pourtant plus de la même manière. Le fait d’avoir tuer l’avait détruit de l’intérieur. Elle trouva refuge auprès d’un clan de la ville. Là, on l’attira dans tous les vices, alcool, drogue, sexe, violence. Sa mère la laissa faire, la tolérant à peine sous son toit. Et bien sur, lorsqu’on pense vices, on pense addiction, avec raison. Eileen grava là sa vraie face. Fumeuse, droguée, jouant avec les hommes et les femmes, se battant mieux que certains hommes, ayant déjà tué et n’hésitant pas à le refaire, elle mena une vie de débauche.

Alors que seizième année débutait, un nouvel événement provoqua une suite d’autres qui dessina le futur de l’adolescente. Le groupe de l’homme qu’elle avait tué voulu se venger. Ils réussirent à attraper la jeune fille lors d’un de ses moments de plane total, et ils la séquestrèrent. Lorsqu’elle reprit conscience, elle était dans une cave. Ses bourreaux avaient attendu qu’elle revienne à elle pour leur vengeance. Contrairement à ce qu’elle pensait, ils ne la tuèrent pas, non… Ils la torturèrent. Longtemps… Douloureusement… Sadiquement… Puis pour le bouquet final, ils gravèrent sur son œil droit leur symbole, une croix-épée. Ils l’abandonnèrent dans une rue…

Par un coup de chance –pas très nombreux dans sa vie- Eileen fut trouvée et transportée aux urgences. On la soigna et on la renvoya chez sa mère qui l’accueillit froidement. Laissant sa fille dans sa chambre, elle vint tout de même lui monter de la nourriture une fois par journée sans un mot. Le temps cicatrisa la punition de son œil et dégrada la blessure de son cœur. Blessure d’humiliation et de souffrance. La folie vint empoisonner la plaie et Eileen perdit définitivement sa raison.

Quasiment un an après sont accident, la brune était devenue encore plus violence, plus sadique. Alors qu’elle se préparait à enlever de sa chambre tous les souvenirs de sa vie d’avant, bien décidé à choisir celle de débauche qu’elle s’était fabriquée sur mesure, elle tomba sur un cadeau qui signait la rupture entre l’Avant et l’Après : le cache-œil d’Anna. Comme par hasard, fait sur mesure pour sa vie, sa sœur lui avait offert exactement ce qui lui fallait à présent. Le passant sur son œil blessé, Eileen sentit une vague de tristesse et de nostalgie la secouer. Sur un coup de tête, un besoin et un défi, elle prit un sac, y fourra quelques habits, ses quelques économies –provenant pour la plupart de vols- elle alla voir sa mère. Elle lâcha, simplement qu’elle partait. Lorsque sa mère lui demanda la destination, et qu’Eileen ait dit les USA, sa mère changea de comportement. Hurlant comme une démente, elle refusa qu’elle parte. L’insultant, elle en vint même à lui lancer tout ce qui lui passait sous la main. Pour l’adolescente, c’en fut trop. Elle supportait cette haine depuis son enfant, et aujourd’hui c’était la goutte d’eau faisant déborder le vase. De sang froid et sans remord, elle la tua par strangulation. Jusqu’au bout, elle regarda sa génitrice dans les yeux, y mettant tout le dégout qu’elle pouvait. Jusqu’au bout elle supporta le regard de haine mêlé d’écœurement d’Assa. Regard qui hantera ses rêves pendant longtemps encore…

Une fois son dernier acte de violence en Irlande commit, Eileen dévalisa l’argent qu’elle trouvait chez elle et sur les comptes en banque avant de se rendre aux Etats Unis.


Une fois au USA, Eileen trouva els bonnes personnes facilement. Déjà dans le monde des gangs et de la drogue, elle réussit à retrouver la trace de son père et donc de sa sœur sur Chicago. Elle s’y rendit. Ensuite, elle chercha. Ce fut dans un des gangs qu’elle retrouva définitivement leur trace. La Sagrada Familia. Gang violent et sanglant sévissant dans la ville. Elle trouva leur casino et y entra. Il ne lui fallut qu’un peu d’argent, de violence et de persuasion pour être entrainé vers un salon. La elle découvrit une jeune femme, aux cheveux roses, yeux luminescents et clope à la bouche. Anna. Elle se présenta, l’air de rien, sans montrer une quelconque joie ou quoique ce soit d’autre. Elle se présenta et demanda à rester. Comme si c’était la chose la plus normal Anna l’accueillit et la garda près d’elle. Malgré leur caractère conflictuel, leur amour l’une pour l’autre prit le dessus et Eileen débuta une nouvelle vie dans le clan de sa sœur.

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